• ROTTWEILER BEST FRIEND ROTTWEILER PINK



    Vidéo: Découvrez quel fantastique compagnon est le Rottweiler en cliquant sur le lien ci-dessous:



    http://video.google.fr/videoplay?docid=-3992822508766990423&q=rottweiler


    Le Rottweiler est un animal capable d'offrir une compagnie agréable et chaleureuse aussi bien qu'une défense efficace. Dans ce reportage (en V.O.), retrouvez les témoignages de nombreux propriétaires de Rottweilers qui vous prouverons que cette bete est un chien et non le diable. Pour etre précis, c'est meme un excellent chien digne d'intéret et non de critiques.


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  • TOSA INU


    Le Japon a une longue tradition de combats de chiens remontant au 14ème siècle. Avec une telle histoire à l'arrière-plan, on éleva la race en croisant le Shikoku-Ken et des races occidentales. Portant le nom de la région où il fut élevé, le Tosa est parfois appelé "dogue japonais". Les chiens occidentaux utilisés pour la création de cette race furent les Bulldogs (1872), les Mastiffs (1874), les Braques allemands (1876) et les Dogues allemands (1924). Tous ces chiens furent utilisés pour améliorer la race par des accouplements consécutifs. Selon certains, des Saint-Bernard et des Bull-Terriers furent également utilisés, mais on ne sait pas à quelle date. Les caractères bien établis chez le Tosa de résistance et d'instinct de combat que l'on trouve typiquement chez les dogues peuvent être attribués à l'infusion du sang de ces races.


    TOSA INU JEU TOSA INU BEBES


    Le Tosa Inu est chien de grande taille, aux façons pleines de dignité et à la construction robuste. C'est un chien aux oreilles tombantes, au poil court, au museau carré, à la queue tombante, épaisse à la base caractérisé par la patience, le sang-froid, la hardiesse et le courage. Le crâneest largeet le stop très marqué. La truffe est grande, de couleur noire pointant au bout d'un museau de longueur modérée.Le chanfreinest droitet les mâchoires se doivent d'etre fortes, tous comme les dents qui sont articulées en ciseaux. Les yeux du Tosa Inu sont assez petits, de couleur brun foncéet portent une expression de dignité. Derrière, ses ereilles, relativement petites, plutôt minces, attachées haut sur les côtés du crâne, tombent contre les joues. Le crane est porté par un cou musclé, avec du fanon reliant le corps et son garrot bien sorti. Son dos est horizontal et droit avec un rein large et musclé. Doté d'une croupe légèrement voussée au sommet et d'une poitrine large et haute aux côtes modérément cintrées sur un ventre bien remonté. La queue est épaisse à la base, allant en s'amenuisant vers l'extrémité, atteignant le jarret quand elle est abaissée. Les épaules, modérément inclinées accueillent des avants-bras droits, modérément longs et forts et des métacarpes légèrement inclinés et robustes. Les membres postérieursont une musculature très développée. Les articulations du grasset et du jarret sont modérément angulées et particulièrement solides. Les doigts bien serrés, ses coussinets sont épais et élastiques, les ongles sont durs et, de préférence, de couleur foncée. L'allure générale est énergique et puissante.Le poil est court, dur et dense et l'idéal est la robe unicolore rouge ou fauve, mais de légères marques blanches et rouges sont également admises. Pour sa taille, la hauteur au garrot est minimum de 60 cm pour les mâles et 55 cm pour les femelles. Cependant, tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité. Certains défauts sont éliminatoires dans des concours, un caractère craintif ou encore un prognathisme supérieur ou inférieur extrême. N.B.: Les mâles doivent avoir deux testicules d'apparence normale complètement descendus dans le scrotum.

    TOSA INU ET SES PETITS TOSA INU ET CHIOT


    INFORMATIONS:


     http://tosa.chiensderace.com http://policemunicipale.free.fr/nouvelle11.htm http://www.accescanin.com/tosa_inu_tosa_center_club.htm http://www.chiots-france.com/Trouver-votre-chiot/Tosa-Inu.htm


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  • "Les chiens de 1ere catégorie sont soumis à la stérilisation : chiens de type Pitbull et Boerbel, ou assimilables à l'American Staffordshire Terrier, Staffordshire Terrier, Mastiff et Tosa. Ils ne peuvent accéder aux transports en commun, aux lieux publics, aux locaux ouverts au public, sous peine d‘une amende de 1000 F. - Le propriétaire a obligation de déclarer son chien en mairie, sous peine d'une amende de 5000 F. L'amende est de 3000F par pièce manquante. - La peine maximale encourue pour l'acquisition, l'importation , la cession ou la non stérilisation d'un chien de catégorie I est de 100 000 F et de 6 mois de prison. - 3 mois de prison et 25 000 F d'amende : c'est ce que risque toute personne n'ayant pas le droit de détenir un chien de catégorie I (mineurs, majeurs sous tutelle...) Un chien non muselé appartenant indifféremment à la catégorie I ou II coûtera 1000 Frs à son propriétaire, auquel il faudra ajouter 1000 F supplémentaires si le chien se trouve dans un lieu public."

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  • MOLOSSE DRAW











    En voulant éviter la confrontation avec les propriétaires de molosses, Robert Cramer s'attire la colère de mamies à caniches. Micheline Calmy-Rey et Hani Ramadam ont oublié, eux, ce principe vétérinaire de base: ne jamais fixer l'ennemi dans les yeux.




    Il faut se rendre inintéressant. Pour ce faire, surtout ne pas bouger, ne pas regarder le monstre dans les yeux, et, s'il faut vraiment regarder quelque chose, plutôt lui fixer la croupe. Voilà, en gros, les conseils distillés un matin de cette semaine sur les ondes de la Première par le vétérinaire cantonal neuchâtelois, au cas où l'on croiserait un de ces chiens réputés dangereux. Il l'a répété plusieurs fois, le véto: se rendre inintéressant.




    Bien vu. Le conseil d'ailleurs vaut aussi pour les politiciens chargés d'aborder ce mordant sujet. Il suffit que l'un d'eux, à propos des chiens, prenne une décision, si timorée soit-elle, pour que la meute se déchaîne.

    En Valais le conseiller d'Etat Thomas Burgener a promulgué l'interdiction des douze races supposées les plus dangereuses. Aussitôt, très délicatement, avec un tact inouï et un sens prononcé des nuances, les défenseurs des molosses ont évoqué la honte d'une «liste Burgener». Le conseiller national jurassien Pierre Kohler, auteur d'une initiative parlementaire visant à interdire les pitbulls, s'est vu lui accusé par les mêmes milieux de «racisme puant». Et même plutôt douze fois qu'une.

    A Genève, donc, après l'agression dont a été victime un enfant de 18 mois, défiguré par un molosse «bien éduqué», le chef du département du Territoire Robert Cramer avait décidé, lui, ne pas trop faire son intéressant. Pas d'interdiction donc, pour les molosses, mais muselière pour tout le monde dans les parcs.

    Certes il a ainsi évité les crocs du lobby pro-molosses, mais pas le ridicule. Ni la colère populaire. Celle des propriétaires de caniches, yorkshire ou autres mini-bombes à quatre pattes. Des propriétaires «en larmes», assure la SPA genevoise, et qui réclament, entre deux sanglots, la démission du sieur Cramer. Une propriétaire d'épagneul breton annonce même le lancement d'une initiative. Au département du Territoire, les téléphones dégoulinent d'injures aboyées à longueur de journée. La muselière c'était encore une idée trop intéressante.

    Le Grand Conseil genevois va devoir maintenant se prononcer. Pas fous, les députés ont compris le message et retenu la consigne. Se rendre inintéressant. Fixer la croupe. Ainsi le président par intérim du parti libéral, Olivier Jornot, confesse courageusement «oser à peine prendre position». L'exemple vient d'en haut. Le Conseil fédéral a pris soin jusqu'ici de ne rien décider. Les sept sages, n'ayant jamais aussi bien porté leur nom, ont tranquillement fixé la croupe, puis le bout de leurs chaussures, sont restés bien immobiles et ont laissé les cantons se débrouiller tout seuls.

    Savoir se rendre inintéressant: ceux qui rompent avec ce sain principe et osent lever les yeux, plus haut que la croupe, se font aussitôt voler contre par des molosses de toute espèce. Voyez Micheline Calmy-Rey, qui a voulu faire son intéressante lors du conflit au Liban, suggérant qu'Israël, bien qu'agressé, y était peut-être allé un peu fort dans la riposte. Aussitôt les trois cerbères UDC qui siègent à la commission des affaires étrangères ont montré les crocs: atteinte à la neutralité. Et quand Micheline a voulu en rajouter, plaidant pour une neutralité active, ça a été la curée. Neutralité active? «Un concept de gauche qui n'a aucune légitimité démocratique», a ainsi grogné Christoph Mörgeli.

    Comme si cela ne suffisait pas, la ministre des affaires étrangères a continué de fixer la bête dans les yeux, et s'est mise à évoquer une candidature de la Suisse au Conseil de sécurité de l'ONU. Là, même les roquets centristes se sont mis à japper. «Incompatible avec la neutralité», a ainsi tranché le PDC Christophe Darbellay, car il faudrait, imaginez ça, «prendre parti».

    Enfin, retour à Genève. Il y a quelques années, un certain Hani Ramadan, vous vous en souvenez, avait, lui aussi, voulu se rendre intéressant. Pas n'importe où, dans les colonnes du Monde, où il défendait allégrement, la pierre déjà chaude dans la main, la lapidation pour les femmes adultères. Suspendu de son poste d'enseignant, il continue depuis à toucher son traitement. C'est alors que le Conseil d'Etat, à son tour, décide de jouer les petits malins, avec cette idée lumineuse: recaser Ramadan comme employé au Palais de justice. Une place qui semblait en effet toute désignée pour un islamiste militant. Certes le brave Hani aurait dû s'adapter un peu: il y a quelque temps déjà qu'on ne juge plus les femmes adultères dans ce canton. Mais le procureur général, Daniel Zappelli, a dit non: pas de Ramadan au palais. Dommage, c'eût été tellement intéressant.


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